question de départ : l’intégration scolaire en milieu ordinaire des enfants présentant un handicap mental, n’est elle pas un moyen, pour les parents, de croire encore à l’enfant idéal et de (repousser?) l’entrée en institution spécialisée ?
(en psy je crois qu'il y a un concept pour exprimer l'enfant idéal, rêvé des parents je ne sais plus si bien le terme exacte, j'ai un doute... tu le sais toi ?)
question de recherche : Dans quelle mesure l’entrée en institution spécialisée des enfants présentant un handicap mental fait-elle partie d’une étape nécessaire pour les parents, afin de faire le deuil de l’enfant idéalisé (j'ai changé les virgules, j'ai l'impression que ça coule mieux???)
les hypothèses doivent toujours être au contionnel
hypotheses : - Les rencontres avec les professionnels de l’éducation spécialisé permettrait de faire (admettre ?) aux parents les difficultés (mais aussi les potentialités ?) de leur enfant. ((c'est peut être un peu polémique "faire admettre" attention.))
- Les rencontres avec d'autres parents d'enfants handicapés de l’institution permettrait (un échange, un dialogue ?) sur le handicap, ainsi qu'une rupture de la solitude que rencontre les familles face à leurs difficultés. (ça fait 2 hypothèses en une...)
je ne sais pas si mes rectifications te conviendront... à bientôt
P.S. Petite remarque perso, mais je ne connais pas ton travail, alors si c'est hors propos n'en tiens pas compte...
C'est intéressant comme sujet ! mais sur le fond, tu n'as pas peur qu'un jury t'embête un peu à l'heure de la désinstitutionnalisation encouragée par tout les dispositifs législatifs actuels tel que la loi de 2002/2005 (ce qui au passage permet à l'Etat et aux coll terr de faire des économies et de se décharger un peu... c'est moins cher moins lourd et on partage la charge, on peut dire que le champs des possibles est plus grands et ça arrange tout le monde)